1. |
Entre ici et chez toi
03:44
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Le trajet n’a plus d’importance
L’arrivée déçoit
Le trajet n’a plus d’importance
Entre ici et chez toi
Il n’y a plus trop de sens
À s’aimer comme ça
Il n’y a plus trop de sens
À s’aimer tout bas
Le trajet n’a plus d’importance
L’arrivée déçoit
Le trajet n’a plus d’importance
Entre ici et chez toi
On s’habitue, on avance
Mais on vise bas
Pour qu’il reste un peu de chance
Et pour que nos cœurs s’élancent encore une fois
Tant de silence habite chez moi
Tant de silence dans ma voix
Tant de romance ne me touche pas
Tant de romance ne me touche pas
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2. |
Dans une larme
03:44
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Il sera toujours le temps, le temps de pleurer
Il sera toujours le temps de tout faire exploser
Il sera toujours le temps, le temps de pleurer
Ce n’est pas la nuit, non
Pas encore l’infini, non
Il sera toujours le temps de nous oublier
Il sera toujours le temps de ne pas retourner
Il sera toujours le temps de nous oublier
Ce n’est pas la nuit, non
Pas encore l’infini, non
Mais je me suis cachée dans une larme
Mais je me suis cachée dans une larme
Ce n’est pas ta faute, non
C’est pas toi ni les autres, non
Ce n’est pas ta faute, non
C’est pas toi ni les autres, non
Si je me suis cachée dans une larme
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3. |
Ton équilibre
03:50
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Je suis venue te parler un peu de moi
Sans le mystère que je traîne
De toute façon ce serait bien maladroit
De contourner les maux qui me prennent
Je suis venue te parler un peu de moi
De ces démons qui se promènent
Et de ce feu qui brûle les doigts
Qui laisse des traces sur ceux que j’aime
Besoin de ton équilibre encore
De me tenir debout sans effort
Besoin de ton équilibre encore
De me tenir debout sans effort
J’ai éloigné tout c’qu’il y avait autour de moi
C’est la dérive sans que je comprenne
Le vide s’est installé dans mes bras
A pris la place de ceux que j’aime
Je vois passer les journées comme des mois
Dans le désert, j’espère quand même
Que quelqu’un soit là à côté de moi
Et me demande pourquoi ma peine
Besoin de ton équilibre encore
De me tenir debout sans effort
Besoin de ton équilibre encore
De me tenir debout sans effort
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4. |
Nos révolutions
04:22
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Ce s’ra la révolution
Je s’rai là en personne
Je s’rai là en personne
Ce s’ra la révolution
On verra c’que ça donne
On verra c’que ça donne
Ce s’ra la révolution
Sous un ciel qui redonne
Sous un ciel qui redonne
Des points à la ligne d’horizon
Des oiseaux à la tonne
Des oiseaux à la tonne
Ce seront nos révolutions
On y sera en personne
On y sera en personne
Tout ça comme une projection
Sur un ciel de carbone
Sur un ciel de carbone
Un jour à la fois
Un jour à la fois
Un geste déjà
Si on commençait là
Un jour à la fois
Un jour à la fois
Un geste déjà
Si on commençait là
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5. |
La fin des saisons
02:49
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Déjà on subit la revanche
Un coup à la fois
Déjà les manières différentes
Un geste à la fois
On a que nos années comme bagages
Des traits au visage
À la fin des saisons, les oiseaux s’inclinent
Déjà on est loin de l’enfance
Si près à la fois
Déjà on aperçoit la chance
De vivre une deuxième fois
On a que nos années comme bagages
Des traits au visage
À la fin des saisons les oiseaux s’inclinent
La disparition, les oiseaux s’inclinent
Sans explication les oiseaux s’inclinent
Sans explication les oiseaux s’inclinent
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6. |
Le mois de mai
03:39
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Dis-le
Ne le dis pas
Prends-moi dans tes bras
Fais comme
Comme si ça va
Nos corps ne penchent pas plus bas
Quand j’ai crié
Pour que résonne
Le mois de mai
Jusqu’à l’automne
Un visage s’est fané
Dis-moi
Dis-le tout bas
Le ciel entre par le toit
Quand j’ai crié
Pour que résonne
Le mois de mai
Jusqu’à l’automne
Une étoile est tombée
Le mois de mai
Jusqu’à l’automne
J’ai failli m’envoler
Nous n’étions pas un poème
Nous le sommes devenus quand même
Nous n’étions pas un poème
Nous le sommes devenus quand même
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7. |
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Enfin c’est fini
Ma tête a beau vouloir tout refaire
Du plus haut balcon de la ville
J’ai fait tomber la terre
Et puis c’est fini
Ma vie a beau finir en même temps
Les oiseaux construiront leur nid
Comme ils l’ont toujours fait avant
Les choses extérieures réparent les sentiments
Enfin c’est fini
Mon cœur a beau pouvoir faire semblant
Du plus haut balcon de la ville
Il peut prendre son élan
Même si je fige
Même si au moindre mouvement
Le vertige me paralyse
La liberté redescend
Les choses extérieures réparent les sentiments
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8. |
Entre parenthèses
02:16
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Je referme la lumière
Tu rentreras à pied
Voir le ciel se défaire
Un été tout éparpillé
L’harmonie de nos vestiges
Au matin qui arrive
Ne s’ra plus qu’un souvenir
Je referme la lumière
Tu rentreras à pied
Les heures en parenthèses
Je les vois lentement s’envoler
L’habitude du vertige
Au matin qui arrive
Ne s’ra plus qu’un souvenir
Le matin qui arrive
Ne s’ra plus qu’un souvenir
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9. |
Des plumes et des ombres
03:43
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Il y avait dans tes yeux un nuage
Qui couvrait le printemps heureux
Les souvenirs seront restés sauvages
La mémoire est longue
J’aurais pu t’aimer toujours
Il y avait dans ton ciel une cage
Qui gardait l’oiseau malheureux
Un été j’ai trouvé sur la plage
Des plumes et des ombres
Je t’aurais aimé tous les jours
Je t’aurais donné tant d’amour
Je t’aurais aimé tous les jours
Je t’aurais donné tant d’amour
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10. |
Pour te garder
02:36
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Je te retrouverai sur le bord de ton lit en silence
Juste avant l’infini
Je te retrouverai sur le banc d’un taxi qui avance
Tout seul dans la nuit
Je te retrouverai cette fois quand la vie sera immense
Quand t’auras peur aussi
Et je m’abandonnerai pour y croire
Et je m’abandonnerai pour y croire
Et je m’abandonnerai pour y croire
Je n’te perdrai pas
Je ferai tout pour
Je n’te perdrai pas
Je ferai tout pour
Te garder près de moi
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